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30 mai 2024En 2023, l’AIA (association des internationaux d’aviron) a soutenu 5 rameuses et rameurs en leur remettant une bourse de 500 euros pour les aider dans leur pratique. La campagne 2024 se termine le 30 juin.
L’aviron est un sport vecteur de valeurs. L’une d’elles est la solidarité. Dans ses activités, l’AIA la véhicule fréquemment, notamment au travers des bourses que, chaque année, elle remet à des athlètes pour leur offrir un soutien financier dans leur pratique. En une vingtaine d’années, ce sont ainsi 61 bourses de 500 à 600 euros qui ont été attribuées, pour un montant qui dépasse les 35000 euros.
Jusqu’en 2016, c’est la FISF (Fédération des internationaux du sport français) qui finançait ces bourses sur proposition de l’AIA. En 2017, après le retrait de la FISF, l’AIA a repris le flambeau sur ses propres deniers, grâce aux adhésions et aux dons reçus.
Depuis 2020, l’AIA peut faire bénéficier ses donateurs d’une déduction fiscale, ce qui a permis d’accroitre le nombre de bourses distribuées. Aujourd’hui, la Bourse AIA est la meilleure opportunité pour aider à votre tour un ou une jeune, qu’il soit de haut niveau ou pas, comme l’explique l’association.
En 2023, 5 rameuses et rameurs ont obtenu une bourse de 500 euros chacun visant à les aider à continuer leur pratique : un record.
La solidarité, une valeur qui a permis à un moment de leur carrière aux membres de l’AIA d’avancer. C’est pourquoi l’association attache une réelle importance à transmettre cette valeur et ses membres l’envisagent comme un renvoi d’ascenseur d’une aide qu’ils ont pu recevoir à un moment ou à un autre.
La bourse AIA concerne tous les rameurs, pas seulement qui sont dans le haut niveau.
Vous souhaitez en bénéficier ou connaissez quelqu’un qui peut en bénéficier ? Cliquez ici pour télécharger le formulaire de demande et renvoyez-le avant le 30 juin. Les dossiers seront examinés durant l’été. Le critère d’âge s’est élargi depuis 2018 aux rameuses et rameurs de moins de 23 ans, de nationalité française et en situation difficile. Les dossiers de rameurs inscrits sur un pôle espoir sont recevables.