Dans le prochain Mag Aviron, la mer sera à l’honneur avec un dossier reprenant les dernières observations de la FFA sur cette discipline qui pourrait bien devenir olympique en 20204.

Les 22 et 23 mai prochains, le SNOS devait donner rendez-vous à la France pour les championnats de France mer. “Une première” pour le club de la région Pays de la Loire qui avait à cœur d’organiser un grand évènement sur ses terres. Pourtant le 2 avril dernier, conjointement avec la FFA, le club a logiquement reporté le championnat à une date ultérieure.
L’aviron ne se court pas que sur 2 000 mètres, en ligne droite, sur des eaux calmes et limpides. Mag Aviron relate souvent, dans ses colonnes, des événements qui jalonnent le calendrier de l’aviron de mer, une discipline en pleine expansion au cœur des projets de développement de la FISA. “J’aime dire que l’aviron de mer, c’est l’aventure à bon compte, note avec humour Richard Mouchel, président de la commission mer de la Fédération française d’aviron. La mise en œuvre est rapide : il n’y a pas de lignes à baliser, on arrive au vestiaire pour se changer et une demi-heure plus tard on est sur l’eau, en plein environnement marin et naturel. C’est aussi un terrain de jeu qui évolue tout le temps, en fonction des conditions météorologiques et des courants. En double ou en quatre, c’est un sport collectif, comme l’aviron de rivière : faire avancer le bateau ensemble, mais en tenant compte de la navigation et en s’adaptant aux éléments.” L’aviron de mer répond à la tendance actuelle en matière de sport, avec un public en quête de nature. “Avec l’aviron de mer, on ne peut pas en être plus proche, poursuit Richard Mouchel, c’est aussi un sport loisir, pas uniquement compétitif”.
Pour découvrir ce qui pourrait être l’avenir de l’aviron de mer et de l’aviron en général, abonnez-vous à Mag Aviron !