Wang Shi présente Deep Dive en France

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Henley-on-Thames, Chicago, Boston, New York, Edinburgh, Glasgow… La liste des clubs visités par Wang Shi s’est allongée récemment avec Boulogne 92 et le Cercle de l’aviron de Lyon pour promouvoir son projet Deep Dive.

Wang Shi (troisième en partant de la droite) dans un huit mené par Christian Baud, président du CA Lyon et du CD69. © Eric Marie-Mag Aviron

C’est à un véritable tour du monde que Wang Shi, entrepreneur et aventurier chinois, se livre ces dernières semaines pour promouvoir son projet, le Global canal rowing action. Il est le fondateur de Deep Dive, le plus grand fournisseur de services de sports nautiques en Chine qui exploite 22 centres de sports nautiques dans 13 villes à travers la Chine. Il est également président honoraire de la confédération asiatique d’aviron qu’il a dirigée de 2014 à 2018. Deep Dive a été inspiré par les nombreuses années d’expérience personnelle de Wang Shi en matière d’entrepreneuriat et d’études à l’étranger, visant à créer une communauté de passionnés de sports nautiques, en particulier l’aviron. « J’ai choisi l’aviron parce que c’est un sport propre, commente Wang Shi, qui participe à la santé, mais aussi au respect de l’environnement et à la cohésion sociale ».

Et c’est bien sur ces aspects que s’appuie son projet Global canal rowing action qu’il est venu présenter en France, notamment auprès de Boulogne 92 et du CA Lyon. « Je veux fédérer les entraîneurs et les rameurs volontaires, lance-t-il, pour mobiliser un maximum de force. Je suis heureux d’avoir pu me rendre à Lyon, où l’aviron est très présent ». Avec trois clubs sur la même berge de la Saône à quelques centaines de mètres les uns des autres, il était en effet difficile de trouver mieux.

Ce sont 11 pays au total qui ont été visités par Wang Shi et qui vont rejoindre son projet, dont le point d’orgue sera, en novembre 2022, de rejoindre la Cop 27 à Sharm el Sheikh en Egypte, pour montrer la mobilisation de l’aviron en faveur de la planète et de démontrer les enjeux auxquels les gouvernements du monde entier sont confrontés. « Je veux reconnecter la population mondiale avec la nature », conclut Wang Shi.
Un projet que Mag Aviron ne pouvait manquer de relayer.

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