
Normalement, les “garçons” auraient dû se retrouver à Aiguebelette. Mais en raison de difficultés logistiques liées — comme on peut aisément l’imaginer — au contexte sanitaire (problèmes d’hôtellerie), les Bleus ont finalement mis le cap sur Bellecin, ce jeudi, pour un stage d’entraînement d’une semaine (12-20 novembre) en milieu hypersécurisé. Avec contacts limités au strict nécessaire, repas confectionnés et consommés par groupes de chambrée…
Plus fourni qu’au Portugal, le groupe de “travail” sera néanmoins amputé des champions du monde Matthieu Androdias et Hugo Boucheron (ce dernier se ressentant toujours de ses douleurs au dos) et de la paire Dorian Mortelette — Thibaut Verhoeven, restés fidèles à l’esprit… “confinement”.
“Ce stage n’avait pas de caractère impératif. On ne nous a pas obligés à y aller. Compte tenu de la situation, je ne voyais pas l’intérêt d’en rajouter !”, assume le champion du monde et vice-champion olympique de Boulogne 92, qui a donc choisi de préparer les piges de Libourne (décembre) avec son partenaire verdunois du côté du Pôle France de Nancy.
Stanislas Copello